Le pôle vie associative oeuvre sur l'ensemble du territoire du Lot à travers plusieurs actions
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D’un côté, les Français seraient très préoccupés par le changement climatique
; de l’autre, très peu sembleraient consi
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dérer le climat comme un enjeu prioritaire. À quelques semaines de la Conférence de Paris sur le climat (COP21), comment analyser
ces données
? Les citoyens sont-ils bien informés
ou à l’inverse sont-ils submergés par les images anxiogènes d’une planète qui va mal
?
Les Français sont-ils blasés, pessimistes, inconscients
?
Il est vrai que les grandes messes onusiennes sur le climat ont souvent accouché d’une souris, sur des accords non contraignants, sans
dates butoirs ni objectifs quantitatifs. Très médiatisée, la Conférence des parties de Copenhague (COP15) n’a pas permis de dégager de
consensus fort sur le régime climatique post-2012 et de prolonger le protocole de Kyoto (signé en 1997, entré en vigueur en 2005
!), qui
visait à réduire, entre 2008 et 2012, d’au moins 5
% les émissions de six gaz à effet de serre (GES)
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par rapport au niveau de 1990. Au
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jourd’hui, les plus optimistes espèrent que la COP21 aboutira à un accord pour stabiliser la hausse de température à 2 degrés.
Pourtant, les effets des GES sur le réchauffement climatique et de l’activité humaine sur le rejet de CO2 ne sont plus à démontrer
(pages
14-15) et les polémiques lancées par les «
climato-sceptiques
» (page
16) ne semblent plus vraiment à l’ordre du jour. C’est pour
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quoi, nous avons choisi de ne pas faire un dossier sur le climat et sur les questions – passionnantes au demeurant – scientifiques, éco